Le cadres unitaire de l’islam au Sénégal, la plateforme Jammi Rewmi et le mouvement Front pour la révolution Anti Impérialiste Populaire et Panafricaine (FRAPP) se sont rencontrés ce jeudi 25 novembre 2021, à huis clos au siège de FRAPP pour échanger sur la situation du pays qui présente des risques de survenance d’une violence aggravée dans un contexte politique, social et pré-électorale très préoccupant au Sénégal, selon leur diagnostic.
Cette occasion, a permis au mouvement FRAPP de mettre sur table toutes ses doléances en dénonçant avec fermeté « les violences dont ses membres font l’objet depuis des années vis à vis de l’État du Sénégal, ce, pour le simple fait de défendre la liberté d’expression dans une démarche non violente ».
Lors de cette rencontre, toutes les parties prenantes de la discussion ont convenu que » l’Etat du Sénégal doit être le premier à préserver les bases de la paix et de la stabilité en œuvrant pour une plus grande justice ». Ils estiment que c’est à ce prix qu’une véritable paix sociale s’installera de manière durable.
Toutefois, le cadre unitaire de l’islam et la plateforme Jammi Rewmi ont écouté avec attention toutes les analyses et positions qui ont découlé de cette rencontre avec les parties prenantes de la discussion.
D’ailleurs, ils comptent, avec FRAPP, poursuivre les échanges sur les mécanismes de consolidation de la paix et de la prévention de la violence.